Le nouveau Contrat local de santé va impacter tout le bassin de vie

  • Un projet de santé du territoire pour répondre aux enjeux actuels et à venir.
    Un projet de santé du territoire pour répondre aux enjeux actuels et à venir.
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CORRESPONDANT

L’ARS (Agence régionale de santé), la communauté de communes du Haut-Allier Margeride et les communes de Grandrieu et d’Arzenc-de-Randon ont signé ensemble le Contrat local de santé Margeride Haut-Allier 2024-28, vendredi matin 26 avril, dans les locaux de la CCHA. Ces quatre partenaires, engagés dans le financement du poste de coordination, sont rejoints par la DSDEN de la Lozère, le conseil départemental, la CCSS et la MSA, qui viennent s’engager autour du projet de santé de territoire.

La signature a eu lieu en présence de Xavier Marette, délégué territorial de l’ARS, de Johanne Trioulier, du conseil départemental, de Nicolas Perrin, directeur de la CCAS, de Francis Gibert, maire d’Arzenc-de-Randon, de Guy Galtier, maire de Grandrieu, et de Francis Chabalier, président de la CCHAM.

Autour d’un territoire élargi, et qui souhaite couvrir davantage le bassin de vie de Langogne, ce CLS définit de nouvelles orientations de travail pour une période de cinq ans. Les contrats locaux de santé sont des instruments de construction de politiques publiques en santé dans un territoire et s’inscrivent dans le Projet régional de santé porté par l’ARS.

Améliorer la situation actuelle pour l’accès à la santé

Mara Brun, la coordinatrice responsable du CLS de la région langonaise, a présenté lors d’un exposé synthétique parfaitement structuré, les objectifs de ce troisième contrat qui continue l’œuvre entreprise il y a onze ans. Concernant les conditions de vie, il faut favoriser l’accès à une alimentation saine et durable, en particulier pour les personnes en perte d’autonomie, maintenir à domicile les personnes vieillissantes, porter une attention particulière à l’état des logements, renforcer la solidarité et le lien social, réduire l’exposition aux perturbateurs endocriniens.

Concernant l’accès à la santé, tout un programme d’accompagnement et de coordination permettra d’améliorer la situation actuelle, notamment en matière de mobilité, de bien vieillir, d’action envers les familles, de premier recours, de prévention nutrition, et de santé mentale. Ces démarches sont possibles grâce à la présence du CLS dans les instances départementales en lien avec les politiques publiques de santé.

Correspondant Midi Libre : 06 72 11 89 06

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