Des vestiges du temps passé sous le goudron
Si les récents travaux entrepris sur la promenade des Tilleuls ont permis aux archéologues de relever des emplacements de murs appartenant à l’église paroissiale, d’autres chantiers, dans un temps pas très lointain, avaient livré des traces du temps passé.
C’est ce que le docteur Pierre Granier, passionné d’histoire locale depuis longtemps disparu, laisse apparaître dans des relevés. D’abord les 30 octobre et 2 novembre 1967 où une tranchée creusée en travers de la place avait mis en évidence un charnier et une sépulture nettement identifiée. Sa particularité : une forme remarquable avec un retrait, de chaque côté, à hauteur des épaules et encadrant la tête. Les parois étaient composées de petites lauzes. Les restes humains avaient été détruits au moment de la découverte et la tombe n’avait pas été fouillée. Plusieurs traces de murs très épais avaient aussi été relevées. Tout comme en novembre 1975 avec le creusement de nouvelles tranchées, cette fois sur la Grand-Rue.
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